Le drame de Gênes met en lumière un type de risques particulier : celui de la fragilité des ouvrages d'arts : ponts, viaducs, barrages... Outre les conséquences meurtrières, la coupure de la circulation est particulièrement pénalisante quand il s'agit d'axes routiers, d'autant plus si c'est un pont sur un cours d'eau. Or nous sommes dans un département, la Drôme, qui est très vulnérable de ce point de vue.
Je fais toute confiance à l'expertise des pouvoirs publics français, et à leur sérieux, mais je saisis toutefois l'opportunité donnée par cette catastrophe pour interroger le Préfet de la Drôme sur les points suivants : sur les ouvrages d'art de la circonscription dont je suis la députée, principalement les ponts sur le Rhône (pont des Lônes, pont Mistral, pont Toursier), les ponts sur l'Isère, mais aussi les barrages, autoponts... , comment sont opérées les études de fragilité? A quelle fréquence? Quel est le dernier résultat en date de ces études? Comment est maîtrisé le risque?
Je lui ai écrit à ce sujet.
Question écrite : Exonération pour l'emploi de travailleurs occasionnels agricoles (TO-DE)